SPRATT 103

Anticollisions

 Application pour téléphones (réalisable depuis l’an 2000…)

Système anticollisions gratuit, polyvalent et adapté à tous les aéronefs pour une plus grande liberté de voler !

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Volez Magazine

Décembre 2003

Volez Magazine

Septembre 2008

Air et Cosmos

Février 2010

Volez Magazine

Mai 2012

 

Le principe du système anticollisions proposé ci-après est conçu pour remplacer très avantageusement les transpondeurs actuels, il est également conçu pour être un système de :
     – Communications téléphoniques et radiophoniques
     – Aides à la navigation aérienne par système GPS connecté à Internet (cartographie, affichage instantané des NOTAM, METAR et autres informations relatives au vol),
     …. et de pouvoir agir en tant que balise de détresse en cas d’urgence.

Toutes ces fonctions pouvant être exploitables très prochainement, dans une application téléchargeable dans les téléphones portables, d’où une utilisation possible par tous les usagers de l’espace aérien sans exception.

Raisons d’être de ce produit :
Ces dernières années, les catégories et comportements des aéronefs occupant l’espace aérien se sont très diversifiés : ULM très rapides, nombreux parapentes, ballons-sondes, aviation commerciale désirant effectuer (par raisons économiques) des vols les plus directs possibles, et aviation militaire (dont drones, …) évoluant à basse altitude et très hautes vitesses.
Les risques de collision entre aéronefs civils et/ou militaires sont donc amenés à se multiplier.

L’aviation de loisir (vol libre, ULM, dirigeables, etc.) ayant un très grand potentiel de développement, il est important que, pour des raisons de sécurité générale (qui concernent tous les aéronefs), cette catégorie, invisible par les radars et ne pouvant être équipée des transpondeurs actuels ou à l’étude (par raison de poids, de consommation électrique et de prix), soit équipée au plus tôt d’un système de détection réciproque adapté à leurs aéronefs. D’où la raison de cette recherche.

Mais en dehors de la capacité d’assurer la sécurité de tous les pilotes et passagers de l’aviation de loisir (et de tous les autres pilotes et passagers, militaires ou civils, susceptibles de les percuter), ce système a également le grand avantage de pouvoir extrêmement simplifier et sécuriser la navigation aérienne pour tous les usagers de l’espace aérien.
En effet, de par les caractéristiques de ce système anticollision et de par son usage généralisé à tous les aéronefs sans exception, il n’y aura plus de raisons de conserver des zones déclarées « dangereuses une grande partie de la semaine pour cause de manœuvres d’avions militaires » (cas trop fréquent).

La France entière deviendra ainsi un vaste « couloir aérien » où toutes les catégories d’aéronefs évolueront en totale sécurité. Les zones interdites de survol seront d’autant plus facilement évitées que les coordonnées GPS de ces volumes seront connectées à une alarme intégrée ordonnant un contournement par l’équipage.

En cas de besoins spécifiques (voltige, lâcher de parachutistes, etc.) des interdictions de vols (« NOTAM ») pourront être activées en certaines zones, et ce, seulement quelques minutes avant les manoeuvres, et désactivées sitôt la fin de celles-ci, grâce à une transmission instantanée et généralisée des informations, via le réseau internet.
Les informations et alertes météo (« METAR ») pourront être également transmises en temps réel par cette même technologie.

Principes de fonctionnement :
Matériel nécessaire : Actuels téléphones portables avec grand écran + connexion internet et GPS (incorporé ou séparé).

     – Balise de détresse : Des fabricants de téléphones mobiles intègrent déjà le système GPS dans des appareils destinés au grand public. Outre les classiques et bien utiles fonctions connues, il y est également intégré une fonction « balise de détresse » qui transmet automatiquement les coordonnées GPS de l’utilisateur en cas d’appel aux services de secours. L’intérêt de cette nouvelle fonction est particulièrement adaptée à tous les pilotes, à tous moments. <La mise en route automatique de cette balise de détresse en cas de déclenchement d’un parachute de secours ou d’un arrêt moteur est à étudier>.

     – Anticollision : Au-delà de cette intéressante balise de détresse, ces téléphones portables/GPS permettent également et surtout de connaître la position de son interlocuteur, celle-ci s’affichant sur la carte GPS avec une précision d’environ trois mètres.

Comme le réseau Internet pour téléphones portables permets d’être connecté en permanence, avec un système quantitatif non plus basé sur la durée, mais sur le volume d’informations transmises, le concept décrit permettra de visualiser sur l’écran la présence d’un autre utilisateur du même système dans un rayon prédéfini. A ce point donné, un logiciel <à étudier> permettra de programmer une alarme qui avertira les pilotes d’un risque imminent de collision en fonction des paramètres vitesse/altitude/direction des deux aéronefs… d’où un changement de l’un ou plusieurs de ces paramètres par les pilotes afin d’éviter cette collision, ou un changement automatisé de ces mêmes paramètres en cas de pilotage automatique (drones, etc.).

     – Communications téléphoniques et radiophoniques : Le réseau Internet permettant, entre autres, les transmissions des communications radiophoniques et les téléphones portables étant équipés de kits « mains libres » (micro et oreillette), le combiné anticollision permettra d’être utilisé en poste de communications principal pour la quasi-totalité des aéronefs ultra-légers qui en sont actuellement dépourvus et pourra en plus être utilisé en tant que poste de communications de secours pour tous les autres aéronefs existants. A terme et de par ses avantages, une utilisation principale de ce moyen de communication par tous les aéronefs peut être envisagée : encombrement plus réduit qu’une radio traditionnelle, moindre poids, moindre consommation électrique, meilleure qualité des communications et, de par son faible coût, possibilité de conserver à bord un autre poste de communications de secours identique.

     – Sécurité du système : En cas d’infraction à la réglementation aéronautique, il sera possible (comme avec les téléphones portables actuels) de retrouver ‘à posteriori’ l’auteur d’un délit.

     En résumé :
Une très avantageuse alternative aux transpondeurs et radios existe et doit devenir une réelle priorité en matière de sécurité aérienne.

     Compléments d’informations et liens :
Rapport du Bureau d’Enquêtes et d’Analyses (BEA) concluant à la nécessité d’étudier un moyen de détection embarqué à bord des aéronefs + Exemples d’accidents ayant déjà eu lieu : Hélicoptère c/ ULM (7 morts…), Mirage c/ ULM (1 mort), avion c/ avion (2 morts), etc, etc….

Matériel nécessaire à la réalisation de ce système anticollisions très simple, sûr et économique : Application <à réaliser> pour smartphones, qui déterminera les probabilités de collisions selon les paramètres émis par les aéronefs, avec déclenchement d’alarmes visuelles et sonores
‘En créant une application dont la fonction serait d’interroger la position des mobiles a intervalles réguliers et de générer une alarme lorsque la distance entre 2 mobiles deviendrait trop petite, vous auriez exactement l’application que vous décrivez. Et son développement devrait être assez simple’.
(Avis technique de Mr Cyril Houri, Président de Mexens Technology. www.navizon.com)

Alors… Si vous êtes un informaticien motivé pour développer cette très utile fonction, n’hésitez pas à me contacter

Concept déposé auprès de l’INPI le 7 octobre 2000